investissement locatif

Les étapes pour réussir son investissement dans l’immobilier locatif

L’univers de l’immobilier locatif n’est pas facile à appréhender. Malgré cela, tout le monde peut en tirer un maximum de profits. Même les investisseurs inexpérimentés peuvent se lancer dans l’investissement locatif, et bénéficier de tous les avantages inhérents. Justement, voici toutes les étapes à suivre.

1ère étape : se fixer des objectifs précis

L’investissement locatif obéit à des objectifs bien définis. En acquiert généralement un logement en vue de l’occuper. Afin de générer des revenus complémentaires, il convient de le mettre en location. De quoi arrondir les fins de mois difficiles. Il faudra juste investir dans un bien destiné à la location.

L’objectif ultime visé par les investisseurs immobiliers est de devenir rentier. Il ne s’agit pas d’un métier, mais plutôt d’un mode de vie plus décent. Il séduit en particulier les jeunes. Et pourtant, la majorité des rentiers sont des séniors. En raison, le rentier est une personne physique qui vit de ses rentes. Donc, elle n’a pas besoin de travailler.

2ème étape : budgéter son projet d’investissement locatif

Il est important de définir un budget prévisionnel pour concrétiser son projet immobilier. Cela permet notamment d’éviter les mauvaises surprises : capitaux insuffisants, faible apport personnel, etc. À cet effet, le porteur de projet doit estimer les coûts afférents en séparant les dépenses directes et les dépenses indirectes.

Budgétiser son projet d’investissement, ce n’est pas sorcier. Il suffit d’identifier les dépenses (le montant d’investissement, les frais et charges, etc.). Il faudra ensuite les classer par ordre d’importance. En réalisant des ajustements, il est possible d’atteindre la marge espérée. Le risque budgétaire se produit lorsque les recettes locatives sont plus faibles par rapport aux charges.

3ème étape : sélectionner un marché rentable

Dans le cadre d’un investissement locatif, il est tout à fait logique d’investir sur un marché rentable et porteur. Le but étant de générer des revenus réguliers, stables et intéressants. Le marché de l’immobilier résidentiel a été chahuté par la crise sanitaire en 2020. De nombreux propriétaires-bailleurs ont cessé de percevoir des revenus durant plusieurs mois.

D’autres marchés sont sortis vainqueurs de la crise du coronavirus. C’est notamment le cas des entrepôts logistiques, lancés par la forte démocratisation de l’achat en ligne. Quoi qu’il en soit, l’accès à ces actifs est réservé aux investisseurs fortunés. Idem pour les bureaux et les murs de commerces. Il existe heureusement des options alternatives plus accessibles à l’instar des Sociétés Civiles de Placement Immobilier.

4ème étape : bien choisir l’emplacement du bien

La rentabilité locative étant l’un des principaux atouts d’un investissement locatif. Il faudra réfléchir sur un certain nombre de points avant de se lancer. On parle notamment de l’emplacement du bien immobilier. Il doit jouir d’une situation géographique favorable. Logiquement, un appartement se trouvant à proximité des commerces et des transports en commun affiche un taux de fréquentation élevé.

Les biens situés en centre-ville sont chers, surtout dans les grandes agglomérations. Malgré cela, des dispositifs de défiscalisation immobilière subsistent. Ils permettent notamment aux personnes éligibles de payer moins d’impôts. Les dispositifs les plus connus sont Pinel, Malraux, Denormandie, le Censi-Bouvard. Il y a, bien sûr, des conditions d’éligibilité à respecter.

Bon à savoir : les zones éligibles au dispositif Pinel sont le A bis, le A et le B1.